« Plus jeunes, plus diplômées que leurs collègues masculins, elles démarrent avec des budgets moins importants et interviennent encore majoritairement dans les services au ménage et les métiers dits traditionnellement féminins, enseignement, santé et social » rappelle le club des entrepreneuses Girl Power 3.0.
Difficultés à lever des fonds et convaincre les investisseurs, les femmes entrepreneures reconnaissent l’existence d’un plafond de verre. Pour 42% d’entre elles, être une femme est un désavantage face à un investisseur.
Mais l’envie d’entreprendre et le désir d’indépendance progresse. La multiplication des réseaux d’accompagnement les aide à structurer leurs démarches entrepreneuriales et à acquérir les bonnes pratiques.