Standfordberkley.com, l’ère du Social Business

Âgé de 25 ans et à peine diplômé de l’ESC Troyes, Joseph Langlois décide de se lancer dans la création d’entreprise pour donner vie à un concept mêlant valeurs humaines et business : « Social Business ». Ce jeune entrepreneur, ambitieux, dynamique, et talentueux, n’a pas toujours eu la vie facile. Il puise sa force de ses origines qu’il n’oublie pas bien au contraire. C’est avec beaucoup de modestie, et d’étoiles dans les yeux qu’il nous invite à entrer dans l’univers de sa startup car pour lui « tout le monde devrait oser entreprendre ! ».

Club privé et des services associés

Nous apportons à nos membres des services de Club Privé. Avec de simples abonnements sans engagement, les membres peuvent faire des rencontres, développer leur réseau, avoir des réductions dans des restaurants de toute la France, être invité à des soirées privées, et une fois par mois la possibilité de gagner des cadeaux par tirage au sort (en avril c’est un IPAD qui sera à gagner). A côté de cela les membres du club qui le souhaitent peuvent bénéficier de remboursements qui peuvent dépasser les 10 000 € pour la gestion privée.

Un premier emploi qui tarde à venir mais qui motive à se lancer

Ayant mis 14 jours pour trouver mon premier emploi (6 mois avant d’être diplômé) et 24h pour trouver mon second emploi, je me suis dit que je pouvais me lancer dans une aventure à mon compte. Un concours de circonstances, mais surtout le fait que je ne me voyais pas travailler pour des entreprises qui pourraient me mettre dehors sans aucune reconnaissance du jour au lendemain.

Recrutements prévues

Je suis tout seul depuis un an mais je compte recruter aux alentours du mois de septembre deux personnes.

Progression rapide et bien mesurée

Je suis assez entouré. Je fais tester mes offres et je n’hésite pas à tout changer si elles ne conviennent pas même si j’ai passé des jours dessus. Je suis passé en mars 2011 d’une entreprise individuelle à une SARL au capital de 100 € en mai puis j’ai tout transformé en une SAS au capital de 100 000 €.

Autofinancement et ouverture légère du capital

J’ai travaillé, j’ai mis quelques semaines à trouver mes premiers clients et j’ai économisé. J’ai réinvesti une grande partie de ce que j’ai gagné puis un autre actionnaire a mis environ ¼ du capital. En Mars 2012, j’ai signé un accord de transaction en vue de monter à 95% dans le capital.

Les premiers clients via internet

Un site Internet que j’ai fabriqué en un weekend m’avait apporté à l’époque 5 clients très rapidement. C’est aussi une question de chance tout cela.

L’âge, un handicap ?

Non je n’ai pas eu de difficulté avec mes clients au contraire, en fait dès les deux premières minutes je les mets à l’aise et rapidement ils voient que je maîtrise mon sujet. Ma grande difficulté, c’est à La Poste, en fait j’ai la carte « Pros » mais deux fois de suite dans le même bureau on m’a dit « Monsieur, vous vous être trompé, pour les particuliers c’est à côté ».

Les communiqués de presse pour se faire connaitre

Les communiqués de presse. Je passe par Claire PLOUVIER de l’agence PRESSTISSIMO

Social Business et services accessibles

  • Nous offrons des services accessibles
  • Nous redistribuons environ 80% de ce que nous gagnons sous forme de cadeaux et remboursement
  • Nous mettons en avant le Social Business et ses valeurs humaines. (Social Business est une marque déposée par notre entreprise)

Son challenge : se faire connaitre sans se ruiner

Mon plus gros challenge je le vis actuellement, le lancement du réseau social du Club. Je travaille actuellement sur le moyen de faire connaître notre concept sans dépenser des fortunes en publicité.

Ses conseils : remise en question, écoute

Se remettre constamment en question et prendre en considération les remarques de l’entourage.

Son ambition : le Social Business

Lorsque nous aurons 10 000 membres Fondateurs, il est prévu de passer à la vitesse supérieure. Nous voulons faire du Social Business, cela veut dire aussi appliquer au plus juste les règles du « Gagnant-Gagnant ». Je ne peux pas en dire plus pour le moment, mais les Membres fondateurs du Club Privé risquent fort d’aimer ce statut.

Son mot de la fin

Vous savez même si mon entreprise vaut aujourd’hui environ 280 000 €, je garderai toujours à l’esprit l’endroit d’où je viens, les difficultés que j’ai rencontrées et ma volonté de promouvoir des valeurs humaines et de transparence : Le Social Business.

Pour en savoir plus

StandfordBerkleyService : Club Privé Haut de Gamme

Site web : ici

Le concept: Mettre à disposition des membres du Club des outils qui leur permettent d’une part de se rencontrer dans la vie réelle et d’autre part de bénéficier d’importantes réductions dans différents domaines.